vendredi 6 juin 2014

Brasil !

Dans quelques jours s'ouvrira au Brésil l'édition 2014 de la Coupe du Monde de Foot-ball. A l'initiative de notre chef de cuisine, M. Léchevin, la demi-pension proposera, de l'ouverture de la compétition à la fin de l'année scolaire, une animation comportant entre autres un concours de pronostic sur les matches. Et puisque, il ne faut pas l'oublier, nous sommes au restaurant scolaire, cela commencera par un:
Menu brésilien,
servi le vendredi 13 juin:
Salade carioca ou salade brésilienne
Poulet mineirinho – riz
Mousse au maracuja ou
Doce banana em pasta


D'ici là, nous proposons aux internautes qui nous suivent de tester leurs connaissances (ou la qualité de leurs souvenirs) en répondant aux questions suivantes, portant sur l'histoire de la compétition.
Les réponses seront publiées avant les quarts de finale.

1. Les modalités d'organisation de la phase finale ont souvent changé (le modèle actuel ne date que de 1998). Sur ce plan, les éditions 1934 et 1938 d'une part, et celle de 1950 d'autre part, sont vraiment atypiques. Pourquoi ?

2. Pendant très longtemps, le tenant du titre était qualifié d'office pour la phase finale. Depuis quand n'est-ce plus le cas ? De ce point de vue, l'Uruguay, deux fois vainqueur, possède une singularité. Laquelle ?

3. Chaque édition sacre un meilleur buteur (avec, régulièrement, des ex aequo).
Le podium de ces “artificiers” est détenu par des joueurs ayant marqué respectivement 13, 11, et 10 buts.
Sauriez-vous donner leurs noms, l'équipe pour laquelle ils jouaient, et l'année de leur trophée ?

4. Pourquoi le match Autriche-Suisse de 1954 est-il resté dans les annales ?

5. En 1954, toujours, a lieu le “miracle de Berne”: la RFA bat en finale le “onze d'or“ de Hongrie, archi-favori, qui  venait de marquer 25 buts dans les cinq matches précédents. Bien des années plus tard, on apprendra qu'il n'y avait rien là de miraculeux, au contraire. Pourquoi ?

6. A la 2e minute de la finale de 1974, Johann Neeskens ouvre sur pénalty la marque pour les Pays-Bas face à la RFA. Ce n'est pas le but le plus rapide de l'histoire de la Coupe du Monde, mais il a néanmoins une particularité. Laquelle ?

7. En 1982, l'Italie établit un record, lequel ?

8. Diego Maradona est une des stars de l'édition 1990 en Italie. Sa relation avec le public italien connaitra des hauts et des bas. Pourquoi ?

9. Du point de vue des pays participants, l'édition de 1994 aux Etats-Unis a été marquée par des absences notables. Lesquelles en particulier ?

10. En tant qu'entraîneur, Bora Milutinovic a établi une sorte de record. Lequel ?